Les jeux en ligne sont désormais très diversifiés : jeux de tirage, paris sportif, jeux de casino, paris hippique, poker …
Ils connaissent un essor considérable grâce aux différents médias : internet,télévision, téléphones portables…
De grands acteurs tels que la Française des Jeux ou encore le PMU occupent une place prépondérante sur le marché mais
également désormais les paris sportifs ainsi que les jeux de casinos en ligne qui vous propose un guide et une sélection de casinos en ligne ou encore le poker en ligne tel que Pokerstar et PMU Poker.
L’homme a toujours aimé jouer, miser, parier. Le jeu fait parti de sa nature. Remontons à son origine …
L’origine des jeux : des osselets au Loto
Durant l’Antiquité, on jouait aux osselets. Un jeu d’adresse qui se joue avec de petits os ayant une forme particulière. Dans la mythologie grec, il était également question de jeu de dés entre les Dieux.
Les grecs misaient aussi sur les jeux olympiques et les combats d’animaux. Les romains sur les combats de gladiateurs, les combats d’animaux également, mais aussi sur les résultats des dés.
Citons pour la petite histoire, la légende de Romulus (frère jumeau de Rémus, fils de la vestale Rhéa Silvia et du dieu Mars). Romulus construit sa ville qu’il nomma Roma. La Cité manquait cependant de femmes. Rumulus organisa alors une fête avec des jeux où furent convier les peuples voisins. A un signal convenu, les femmes ont été enlevées (le Rapt des Sabines).
L’enlèvement des Sabines aurait eu lieu au Cirque Maximus qui est le plus vaste et le plus ancien cirque de Rome.
Le jeu roi était sans nul doute les courses de chars (ludi romani, jeux de Rome) à quatre chevaux où le danger était grand.
Rapidement cependant les jeux furent interdits. Les différentes autorités de l’époque, politique et religieuse, luttèrent contre les jeux. Les chrétiens, musulmans et juifs bannirent les jeux d’argent. En 813, le Concile de Mayence sanctionna les chrétiens qui jouaient aux jeux de hasard.
Les souverains français ont continué la répression mais tout en tolérant le jeu à la Cour.
En 1539, François 1er introduit pour la première fois les jeux d’argent à travers d’une loterie, moyennant une redevance annuelle d’un montant élevé versé au Trésor. Le prélèvement de l’Etat sur les enjeux était tel qu’il découragea les joueurs.
En 1644, le Cardinal Mazarin, amoureux des arts, établit quand à lui une loterie proposant comme lot des objets précieux.
Les jeux de hasard et d’argent ont été autorisés en France à la fin du XVIII avec la création de la Loterie Royale, fondée le 30 juin 1776 par Louis XVI. On peut considérer la Loterie Royale comme l’ancêtre de notre loterie actuelle. Elle avait alors lieu deux fois par mois.
La loterie nationale a vu le jour le 22 juillet 1933. Elle a été mise en place par décret afin de venir en aide aux victimes de la guerre. Son premier gagnant fut Paul Bonhoure, qui empoche la somme de 5 000 000 de francs, lors du tirage effectué au Trocadéro.
Le jeu se modernise et devient le Loto le 13 juillet 1975 (signé par un décret du premier ministre Jacques Chirac). Le but étant principalement de restaurer les finances publiques.
Le PMU,quand à lui, a vu le jour en mars le 3 mars 1931. Le premier tiercé a eu lieu à Enghien le 22 janvier 1954. Il fut rapidement un phénomène national.
De nos jours, ce sont les jeux en ligne qui se développent à une vitesse grand V: les jeux sociaux, les jeux de loteries, les casinos en ligne, le poker en ligne, les paris sportifs… Ils ne connaissent cependant pas tous le même essor. Les jeux sur mobile, les web-based (jeux en ligne jouable depuis un simple navigateur), les jeux multi-joueurs (MMOG) connaissent une économie florissante. Les jeux d’argent et de hasard, soumis à la loi n°2010-476 (2010) relative à l’ouverture à la concurrence et à la régulation du secteur des jeux d’argent et de hasard en ligne, ne connaissent pas le même essor et sont pour la plupart en pleine restructuration. Les opérateurs ont été obligés de dépenser de l’argent pour mettre leur site aux normes imposées et cherchent un second souffle.